à gauche le Portugal....Barrage du guadiana... à MERTOLA...à droite l'Espagne
Cabeceiras de Basto est une municipalité (en portugais : concelho ou município) du Portugal, située dans le district de Braga et la région Nord.
Municipalité avec 240,88 km² de aire et une population de17 744 habitants
Cabeceiras de Basto est limitrophe :
- au nord, de Montalegre,
- au nord-est, de Boticas,
- à l'est, de Ribeira de Pena,
- au sud-est, de Mondim de Basto,
- au sud, de Celorico de Basto,
- à l'ouest, de Fafe,
- au nord-ouest, de Vieira do Minho.
Située dans une région connue comme les terres de "Basto", nom associé au Guerrier Lusitanien "Basto", une figure légendaire célèbre dans les luttes de résistance aux invasions maures. Ce guerrier est représenté dans des statues en granit dont l’origine date de l’époque antérieure aux Romains (Ier siècle avant J.-C.). Initialement, elles auraient servies de monuments funéraires pour identifier les sépultures des guerriers, l’une d’elles étant posée sur un piédestal à l’entrée de Cabeceiros de Basto.
Le Monastère de São Miguel de Refojos, dont la fondation est antérieure au XIIe siècle, eut une grande influence dans le développement de la région, d’ailleurs le bourg a aussi été connu sous le nom de Refojos do Basto.
Dans des terres de grande beauté, aux fleuves limpides et aux montagnes luxuriantes, arrêtez-vous au Parc de Moinhos do Rei, qui concentre l’ensemble des moulins communautaires d’Abadim, construits sur ordre de Dinis, roi du Portugal au XIVe siècle.
Mondim de Basto est une municipalité (en portugais : concelho ou município) du Portugal, située dans le district de Vila Real et la région Nord.
Municipalité avec , 171,87 km² de aire et une population de 8 574 habitants
Près du fleuve Tâmega, Mondim de Basto fut fondé sous le royaume de Sancho Ier (XIIe siècle) mais conserve des vestiges de l’occupation de nombreux peuples qui passèrent par là.
Près du bourg, le mont Farinha, dont la forme pyramidale rappelle celle d’un volcan, s’élève en pic à une altitude de 990 m. À son sommet, la Chapelle de Notre-Dame da Graça est le décor de pèlerinages courus en juillet.
Dans les alentours, près du village d'Ermelo, ne manquez pas de visiter les chutes d’eau du fleuve Olo, connues comme "Fisgas de Ermelo".
Les accidents géologiques à l’origine de spectaculaires cascades, une grande diversité d’écosystèmes naturels et un patrimoine social préservé transforme votre promenade dans le Parc Naturel d’Alvão en un pèlerinage d’authenticité.
Sur le versant ouest de la Serra d’Alvão, qui intègre l’imposant massif montagneux où se trouve la Serra do Marão, l’aire protégée est parcourue par le fleuve Olo, qui coule entre les roches et les rochers et traverse la pierre dans les Fisgas de Ermelo, retombant en cascades d’une hauteur de près de 250 mètres. Impressionnant par la force des eaux, c’est un des les plus beaux sites de la région et il est représenté dans le symbole du Parc.
Le cours du fleuve Olo uni deux réalités différentes. À une altitude moyenne de 1.000 m, dans la zone de Lamas de Olo, prédomine le granit et la végétation de haute montagne ;
en bas, près d’Ermelo, où l’altitude avoisine les 450 m, prévaut le schiste et le paysage verdoyant comme dans le Minho.
Le schiste, le granit et la chaume sont les matériaux utilisés pour la construction des maisons des villages typiques de Lamas de Olo, Anta ou Ermelo, où le temps s'écoule si lentement que l’on se croirait très éloigné de n’importe quelle ville, et pourtant si près de Porto qui se trouve seulement à une heure de route.
Pour avoir une idée du mode de vie des habitants de cette région, visitez le complexe de l’Écomusée d’Arnal, qui recrée l’atmosphère d’un village traditionnel d’Alvão.
Suivez les parcours suggérés par le Parc et appréciez les magnifiques panoramas avec attention, car vous apercevrez peut-être un loup ou un faucon pèlerin, puisqu’il sera quasiment impossible de voir l’aigle royal, qui a pratiquement disparu. S’il vous reste des énergies, testez votre adrénaline au rafting sur les divers cours d’eau et, pour vous remettre de vos efforts, ne vous privez pas de l’excellente gastronomie régionale, qui réunie des mets comme la boule de viande et le rôti de veau, dont la viande de la plus grande qualité provient d’une race autochtone – la “maronesa”.
Ce fut l’un des premiers Sanctuaires Marials de Trás-os-Montes, reconstruit en 1755. Il possède un clocher et 3 chapelles. Il constitue, architecturalement, un ensemble massif de granit. À l’intérieur, il conserve une imagerie appréciable.
Cette zone désignée ‘Terras de Basto’ (Terres de l’Abondance), s’applique à 4 communes qui partage une Histoire commune, des traditions et une géographie semblables.
Le pèlerinage se réalise le 1er dimanche de septembre.
Pour faire ce circuit vous pourrez choisir d'entrer dans le Parc en venant de Mondim de Basto et suivre la direction du village d’Ermelo, cerné d’arbres et de champs de culture, qui conserve un admirable ensemble d’architecture rurale où les murs des maisons sont érigés dans la roche mère de la région.
Le village, qui reçut le for en 1196, conservent un joli pilori, l’église, une voie sacrée aux croix énigmatiques et un ensemble d’"espigueiros" où sont entreposées les céréales. Une visite au noyau muséologique complètera votre visite.
Suivez la direction de Fojo et ensuite celle de Varzigueto. En entrant de ce village, le fleuve Olo chemine vers le grand plongeoir du haut de Fisgas de Ermelo, dans un parcours avec près de 300 m de dénivellation, entouré d’un paysage grandiose où plane une atmosphère de religiosité.
L’accès entre Varzigueto et le village de Barreitro offre, du côté ouest, une éblouissante vue panoramique sur un horizon unique. Sur le versant d’un cône géologique parfait, le Monte da Farinha, se découpe l’église de Notre-Dame de Graça dans le ciel.
Sur la route de Fervença, admirez les vallées verdoyantes cultivées en paliers. Tout comme dans le Gerês, cette technique ancestrale de culture a pour but de réduire l’érosion et de permettre l’activité agricole. En bas, coule la rivière de Fervença. Revenez à Ermelo par la vallée de la rivière de Fervença, peuplée de forêt presque méditerranéenne, où les chênes et les chênes-lièges se mélangent.